« These shallow waters never met what I needed, I'm letting go a deeper dive. Eternal silence of the sea, I'm breathing alive. Where are you now ? So lost, I'm faded. »
C'était un Vendredi soir, un peu après huit heures et Damien se trouvait déjà dans un bar. Il était à son onzième shot de Tequila, qu'il avala rapidement en cul-sec dès que la barmaid lui en donnait. L'homme avait déjà consommé tout un verre de whiskey et d'un vodka absolut, mais tenant très bien à l'alcool, il savait que ce n'allait pas être suffisant pour lui faire perdre la tête. La barmaid n'avait rien rajouter lorsqu'il commanda son premier shot, étant pratiquement habituée à sa visite; parce que oui, ce n'était pas la première fois qu'il essayait de se bourrer, mais bien la quatrième consécutive. Et la raison était toute bête: il ne savait pas. Quatre jours, une soixante-dizaine de shot et pourtant aucune réponse. Damien avait tenté de réfléchir - il l'a même écrit dans ses mémoires et demander à des gens sur des forums en anonymat -, utiliser ses méninges pour une fois et aller chercher profond en lui, ce qu'il cache dans les abysses de son cœur, mais Damien ne comprend toujours pas. Il ne comprend pas: pourquoi ressent-il ce vide en lui ? Il avait un loft, de l'argent, des amis et des relations aussi proche qu'une famille, de la bonne humeur et tout allait bien aussi, que ce soit avec son divorce ou le fait qu'il vit sa vie à son plein; libre et sans grand attachement. Et pourtant, il y avait ce vide, quelque chose qui alarmait ses sens et ses émotions et le Cole n'arrivait vraiment pas à trouver une solution. C'était un véritable casse-tête chinois. Le bar où il était tranquillement installé était un peu bruyant en ce Vendredi soir. De nombreuses personnes, principalement des hommes, se sont regroupés là. Apparemment, il y avait un match de catch aujourd'hui, un championship où à la finale s'affrontait deux légendes du catch - dont Damien ignorait le nom car il n'y accordait aucun intérêt à ce sport. N'importe qu'elle abruti savait que le catch, et principalement à la télé, n'est que de la grosse mise en scène de deux grosses brutes drogués et ayant avalés quelques douzaines de stimulants avant de se faire envoyer dans cette cage. Les gagnants étaient déjà déterminés par rapport aux paris, quel gagnant ou perdant rapportait le plus par les compagnies et le reste n'était que du spectacle. Et justement, des exclamations et des sifflements provenant du public et du bar s'élevèrent parce que machin-chouette avait renversé binocle-truc. Le type à côté de lui, bras musclé autour du cou de sa petite-amie - ou de sa pute ? - et l'autre s'élevant haut dans le ciel une choppe de bière à la main, laissa un hurlement bien viril. Damien leva les yeux en exaspération. "Débile." lâcha-t-il avec de prendre son quinzième shot de Tequila. Son voisin semble l'avoir entendu, se leva et se tourna vers lui, rouge de colère et de l'alcool qui lui était déjà monter à la tête, saoul. "Pardon, tu as dis quoi tapette ?" Cinq autres mecs se levèrent d'un coup, tout aussi grand et tenace que son voisin, et également très menaçant prêt à le défoncer à n'importe qu'elle moment. Damien se montra indifférent, trop saoul pour exprimer une émotion en fait, et il finit par montrer du doigt la télévision où d'autres applaudissements s'en suivirent et ajouta: "Ce que vous regardez, c'est de la camelote." Cela sembla être la gâchette, la goutte qui déversa le vase pour le costaud devant lui parce que le poing s'écrasa rapidement sur le visage de Damien et ce dernier se retrouva rapidement éjecter vers le mur à l'autre bout de la pièce.
*
"Monsieur Cole, réveillez-vous ! Monsieur Cole, est-ce que vous m'entendez ?" Une voix l'appelait au loin, et se rapprovhait petit à petit, résonnant dans sa tête. Ses paupières s'élevèrent légèrement mais se refermèrent aussitôt lorsqu'une lumière aveuglante s'y glissa par l'entre-ouverture. De ses yeux mi-closes, Damien ne pouvait discerner qu'un toit en métallique, d'un visage assez rond et féminin mais trop flou pour y discerner les traits ainsi que la sensation qu'il était en mouvement. Le bruit sourd d'une ambulance fut la dernière chose qu'il entendu de nouveau avant de sombrer à nouveau. Damien se réveilla plusieurs heures plus tard, allongé sur un lit dur et inconfortable et une vue sur un plafond blanc au loin. De là, il pouvait entendre le son régulier de machine et sentir l'odeur de médicaments et de détergent frais. Le premier signe fut le cardiogramme afficher à sa gauche et les fils implantés au bout de son avant-bras qui l'illumina: il était dans un hôpital. Aussitôt, il se redressa en position assise mais le Cole ressentit des douleurs aux côtes et aux bras, ce qui lui fit lâcher un grognement de douleur. Ses poings étaient pleines d'effleurures et l'anésthésiant sur ses lèvres qui se dissipent peu à peu lui faisait mal: elles sont sûrement gonflées. De sa tenue de patient, Damien pouvait sentir le frottement de ses genoux irrités et ce dernier remarqua qu'elles étaient ensanglantées. Damien n'avait aucun souvenir d'hier soir, seulement les blessures et les douleurs étaient là. Il savait qu'il se saoulait très fréquemment et faisait toute sorte de chose bizarre, mais à aucun moment a-t-il été impliqué dans la violence. Était ce lui qui a provoqué son agresseur ? Des maux de tête violents bloquèrent toutes tentatives apparentes de se rappeler d'hier soir et Damien se laissa aller dans sa gueule de bois, la douleur prouvant bien que c'était réel et qu'il est sobre. Le brun tenta à nouveau de se redresser et même de se relever. Il réussit à peine à se relever et, en prenant appui sur tout le long de son lit, il atteigna le pas de porte. De là, il voyait une infirmière qui arriva de loin en sa direction et Damiem prit immédiatement le côté opposé, boitant le pas pour la fuir. Il avait beaoin d'être chez lui maintenant. Pas dans cette endroit, pas en mangeant cette "nourriture", pas avec cette odeur, pas avec ses gens. Chez lui, tout seul, du repos. Il perdit finalement le contrôle, en sueur et épuisé. Sa main glissa et Damien tomba à genoux avant de s'écrouler par terre. Sa tête lui tournait, elle faisait mal, comme si quelqu'un la martelait de l'intérieur. Sans vraiment discerner les ombres, deux paires de bras costauds le portèrent et le remis dans son lit. Revenu au point de départ. Et merde. Damien ne bougea plus et fit à la place une sorte de moue boudeuse et irrité. Ses yeux brûlait de rage et l'avocat ne se gêna pas pour lancer un regard noir à l'infirmière qui était là, comme un gamin le ferait; il détestait les hôpitaux.
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Dernière édition par Admin le Dim 16 Oct - 12:28, édité 1 fois
« She's my cherry pie cool drink of water, Such a sweet surprise tastes so good make a grown man cry. Sweet cherry pie oh yea she's my cherry pie. Put a smile on your face, ten miles wide. Looks so good, bring a tear to your eye. Sweet cherry pie. »
La grasse matinée. La joie de n'entendre aucune alarme te réveiller, le bonheur de rouler dans ton lit, sous ta belle couette et tête sur ton coussin, tous les membres de ton corps qui se détende, tous tes muscles de ton corps qui se relâchent et toutes tes cellules qui se reposent, laissant ton esprit divaguer dans un sommeil sans rêve. Juste du repos, que du repos. Et c'est aussi la sensation quand tu te réveilles et ouvre les yeux, que le soleil est bloqué derrière les rideaux mais les plus doux rayons viennent te caresser le visage. Et le moment où tu regardes l'heure, et que tu lâches un soupir pour t'enrouler par la suite dans tes draps et te rendormir. Tu divagues, ton cœur est léger et ta respiration régulière. Et quand tu te réveilles, tu le fais lentement, dans un mouvement gracieux, comme si tout était ralenti. Et tu prends ton temps, et tu ouvres tes paupières. Damien s'étira dans ses draps, balançant sa tête vers l'arrière et se relâcha par la suite, laissant un petit soupir rauque de satisfaction. D'un mouvement lasse, il se roula de son lit sur le côté, posa ses pieds sur le sol et se releva. Le brun empoigna son téléphone au passage puis alla à sa salle de bain, avant d'en ressortir quelques minutes plus tard, sa robe de chambre sur les épaules. Les cheveux ébouriffés juste-sorti-du-lit, les marques de sommeil et des traces de baves sur son visage et habillé seulement d'un de ses boxers troués en dessous de sa robe de chambre, il descendit pieds nus les escaliers. Il se dirigea directement dans la cuisine pour faire un bon café et entreprit d'ouvrir un peu les fenêtres et les rideaux pour y laisser entrer la fraicheur du bon matin et le soleil. Cela faisait un moment qu'il n'avait pas fait une bonne grasse matinée, se réveiller un samedi à quatorze heure et de bonne humeur. Le brun avait fait la plupart du boulot hier soir avant de partir à un dîner avec ses collègues - et d'ailleurs, il ressentait une légère douleur à la tête bien qu'il résiste bien à l'alcool - et donc ne lui laissait que quelque paperasse à faire qu'il remettra au lendemain. Ca le rappelait d'ailleurs le lycée, lorsqu'il remettait toujours ses devoirs et contrôle le Dimanche pour pouvoir profiter et s'amuser Vendredi soir et Samedi, et finir dans la merde au final. Se rappeler ainsi du lycée lui faisait un coup de vieux et le rendit si nostalgique, laissant une douce expression sur son visage. Que pourrait bien arriver aujourd'hui qui pourrait troubler ce calme au final ? Le temps était ensoleillée, avec une certaine fraicheur, il était libre de toute corvée et personne ne pourra le déranger, absolument personne ! C'est en sirotant son café qu'il ouvrit légèrement les rideaux lorsque soudain une ombre apparaissant derrière la fenêtre qu'il a ouvert le surpris et il recracha du café sur cette ombre. Cette ombre était la silhouette d'une femme, nue comme un ver, ne portant qu'un soutif rose fuchsia et très sexy, une simple culotte avec un pédobear et des petites pois rose dessus et des pantoufles & ses cheveux rose-multicolore vaguaient à la brise du vent sur l'échelle de secours qu'elle grimpait. « Huh? » Il y eut un blanc pendant un moment avant que soudainement, Damien poussa un cri effrayé, confus.
Ce soir, Damien avait opté pour manger dehors. Après tout, demain était Mercredi et c'était son jour de congé. Normalement, il optait plutôt pour un bon fast food à la maison mais exceptionnellement, il voulait sortir un peu, prendre l'air. La firme lui avait permis de sortir un peu tôt aujourd'hui et il en avait profité pour faire une bonne sieste, récupéré de la veille où il a dû faire nuit blanche sur un procès qu'il devait préparé pour le lendemain très tôt et a pu fermer les yeux pour une demi-heure sur le canapé dans son cabinet avant de s'y remettre pour pouvoir faire attention de tout ramener avec lui. Bon, le positif dans l'histoire c'est qu'il l'a gagné et défendu son client et sa famille, donc ce travail pénible a servi pour quelque chose & malgré sa fatigue, ce dernier était très content pour sa famille, et ses collègues ont eu la gentillesse de lui préparer une petite tournée de champagne à l'occasion de sa réussite. Mais le Cole était mort de fatigue, et le premier truc qu'il a fait en rentrant chez lui, c'est de s'étaler en long sur son canapé et se laisser dans les bras de Morphée. Il s'est ensuite réveillé aux alentours de dix heures et a eu une envie de décompresser dehors, puis celui-ci avait envie de la bonne bouffe. Suivant sa faim, il opta alors pour un bon resto dans le coin. Bon, il s'était peut-être un peu trop habillé pour un simple dîner. Gardant ses chaussures et son pantalon de son costume de travail, Damien opta une de ses plus belles chemise bleu nuit - ressortant avec ses beaux yeux bleu - qu'il déboutonna deux bouton à partir du haut, utilisa une énorme quantité de gel et d'autre produit et ressorti son parfum One Million. Même pour un dîner d'affaire, il n'aurait pas été allé jusqu'à là. Mais bon, juste pour l'ambiance ? Il était d'humeur classe en ce moment, alors pourquoi pas. Le brun avait entendu parler d'une bonne adresse qui venait d'ouvrir il y a à peine un mois, commençant à devenir très réputé et connu de tous, et jugea qu'il devait y jeter un coup d'œil. L'ambiance été agréable; pas trop de cul-cul et violoncelle à l'entrée mais pas non plus dans un sal état, genre bistrot du coin. Damien s'y installa, scruta un peu les gens et le décor, qu'il apprécia beaucoup. Une carte de vin lui fut apporté et le trentenaire choisissait son habituel 1967 rouge, qu'il prenait à chacun de ses restaurants, question d'habitude. Rapidement il fût servi, et la carte de menu lui a été apporté. En sirotant un peu de son vin, il scruta les gens qui étaient là. Beaucoup de gens qu'il reconnaissait, mais la plupart n'était que de simple connaissances ou d'autre qu'il n'a croisé que quelque fois pour qu'il puisse reconnaître, à la gym ou à sa boutique préférée. D'autre qu'il a eu l'occasion de mater, et fut très surpris de les retrouver là, accompagné ou non. Un vrai plaisir pour ses yeux en vrai, ça pourrait l'occuper pendant un moment... Distrait, il posa son verre sur la table près de ses couverts, ce qui fit tomber sa fourchette. Aussitôt; un serveur vint à sa rescousse et le lui ramasser. Le serveur lui demanda gentiment ce qu'il voulait commander mais Damien remarqua quelque chose d'intriguant dans la voix de son hôte et releva la tête, les sourcils froncés. Ils échangèrent un regard, que l'homme évita soigneusement et Damien, dans le doute, jeta un coup d'œil aux serveurs près de la cuisine et vit qu'ils s'égosillaient autant que l'homme à côté de lui. Le prendrait-il pour un critique culinaire ? Damien esquissa un sourire amusé par cette idée. Serait-ce un grand jour pour le restaurant ? Après tout, il l'a bien fait semblant d'en être un un jour, qui a dit qu'il ne pouvait pas le refaire ? Son attention se reporta de nouveau sur la carte puis il glissa son doigt sur la première chose sur la carte des entrée et sourit au serveur. « Une bisque de crevettes, s'il vous plait. »
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mon inspiration pour le titre. juge pas j'allais écrire time fries D8:
Pseudo & Pseudo la citation qui va bien, ici même Rendez-vous sur rendez-vous pour vendre le groupe, le groupe dans lequel elle chantait la môme, dans lequel elle donnait tout. Groupe qui ne décollait pas, qui ne voulait pas prendre son envol. groupe pourtant qu'elle aimait, qu'elle chérissait et qu'elle voulait voir grandir. La voilà assise sur un muret,portable à la main lisant les mails. Ils ne voulaient pas d'un groupe de jeunes, pas d'un groupe comprenant que des gamins. Revoilà le groupe au commencement. Soupir sur soupir, rage sur rage et sourire de convenance devant les autres membres "Bon je bouge les amis, je dois voir mon frère, besoin de moi pour sa peinture". Mensonge, elle mentait beaucoup la môme, mais elle mentait sur des petits trucs jamais des choses vitales. Elle embrassa chaque membres et partit sûr d'elle au moins donnant cette impression. La voilà déambulant dans les rues, à la recherche du bonheur. Elle attrape son téléphone "Rendez-vous quotidien! Je suis en bas, tu as pas le choix bisous sur toi". Damien l'homme qui l'avait sauvé d'un enfer permanent, l'homme qui ne l'avait pas lâché pour qu'elle crache le morceau. Elle monte doucement les marches, pas d'ascenseur, endroit clos, la mort au bout "Comment tu vas?". Sourire sur le visage, Malheureuse à l'intérieure. Elle à l'habitude de tous cacher. Elle s'installe devant lui "Yaourt glacé et hamburger bien gras. Comme tu aimes ". Elle pose tout sur le bureau et s'approche pour l'embrasser
BY .SOULMATES
Friendship is Magic
Lullaby & Damien
« L'amitié double les joies et rédhit de moitié les peines. »
Damien soupira, pour la quarante-vingt troisième de la journée. Ce n'était pas une bonne journée pour lui, tout commence mal avec rupture de stock de thé - qu'il a oublié de vérifier comme il le faisait à chaque fois - donc il en a pas eu sa dose du matin puis un gros meeting et rendez vous sur rendez vous qui s'enchaine, jusqu'à que ce midi alors qu'une forte migraine lui pris, le téléphone sonna. Le brun soupira; ce n'est pas comme si ça allait arranger lea choses non ? "Lulla, attends, je.." Tout s'est passé trop vite pour son cerveau. En même temps, même dans sa condition normale, la jeune fille était trop difficile à gérer. Il soupira une nouvelle fois, mais un sourire s'esquissa sur ses lèvres; cette petite ne changera vraiment jamais. Justement lorsqu'il se tourna, elle était devant lui et lui demandait comment il allait. "D'après toi ?" Dit-il simplement, en pointant derrière lui la fenêtre où baignait une énorme quantité de lumière et de chaleur malgrés que les fenêtres étaient réfléchissantes de l'extérieur - et totalement isolées évidement. Tous ceux qui ont cotôyé Damien au moins une fois savait au'il détestait être enfermer dans son bureau dans une telle chaleur. Il était d'ailleurs l'une des rares personnes à préférer la pluie dans ses cas là, ça irait bien avec son humeur en plus. Damien reporta à nouveau aon attention sur la jeune fille et vit qu'elle posa sur son bureau ce dont il avait le plus besoin: yaourt et hamburger, comme il les aimait. "Oh mon dieu Lulla, tu peux pas savoir à quel point tu es géniale. Un ange, tombé du ciel !" S'exclama-t-il pour une grande étreinte. Le mi-trentenaire caressa les cheveux de la jeune fille affectivement, presque paternel, puis s'écarta avec un sourire pour bien l'admirer. "Mais assez parler de moi, comment toi, tu vas ?" Ils restèrent ainsi un moment et Damien plissa les yeux, essayant de déchiffrer l'expression de sa petite protégée. Ayant passé autant de temps à ses côtés, il pourrait peut être réussir au moins une fois !
- quand pots de glace et ascenseur ne font pas bon ménage -
Ma fille était particulièrement agitée cette nuit. Lilas se jouait de nous, c'était certain. Sachant pertinemment que papa et maman ne pouvaient lui résister. Aaron devait se lever bien plus tôt que moi, c'est pourquoi j'étais restée au côté de ma petite princesse jusqu'à ce qu'elle s'endorme. Mais chaque fois que je la pensais endormie et que je quittais la pièce, elle se relevait aussitôt et réitérait son petit numéro. Lorsque mon mari s'en est allé au boulot, je l'ai finalement prise dans le lit avec moi espérant au plus profond de moi qu'elle finisse par fermer l’œil. J'ai finalement eu droit à une petite heure de sommeil, et me suis rendue au boulot après l'avoir déposé à la crèche. (...) Épuisée de cette journée, je prends quand même le temps de passer au centre commercial non loin de chez moi. J'ai une faim de loup, et je ne peux m'empêcher de prendre dans ma petite corbeille tout un tas de cochonneries. Des pots de glaces sont en promotion, je vois ça de loin bien qu'il me semble bien vide, je m'approche tout de même. Deux pots achetés et le troisième gratuit, j'ai carrément envie de glace pour ce soir, c'est mon péché mignon. Mais y a cet homme qui est arrivé en même temps que moi. Et comme si ça ne suffisait pas, sa main s'est posé sur l'un des pots en même temps que moi. Merde. pensais-je. Un sourire un peu faux se dessine sur mes lèvres malgré moi. Je lui dis alors que celles au citron sur le côté sont tout aussi bonne... « Ma fille m'attend à la maison, prenez-les ! Elle n'est pas très fan du citron, mais c'est pas grave ! » je fais une petite moue, puis lui adresse un petit sourire. Calculatrice ? Oui, peut-être un peu pour le coup. Je déteste quand je fais ça, je déteste ce côté-là de moi, mais ça marche. Ça a clairement du bon d'être une maman, y a pas de mal à profiter un peu... Je repars finalement avec mes pots de glace. Une fois le dos tourné, j'ai limite envie de rire tant ça a été facile, j'aurais peut-être dû être comédienne. Il n'y a plus personne dans le magasin, je passe rapidement à la caisse et me dirige vers l'ascenseur pour descendre au parking. J'appelle mon mari pour lui demander s'il peut mettre les pâtes à cuire le temps que j'arrive. J'en profite pour lui raconter ma petite mésaventure. Je peux entendre ma petite Lilas derrière qui et ça me fait rire, j'entre alors dans l'ascenseur et lui dis que ça va certainement couper, que je serais là dans dix minutes et que je l'aime. J'appuie alors sur le bouton moins un, l'étage souhaité...
i think you bring me bad luck
abite et pénissallon
«What are we fighting for?Seems like we do it just for fun. In this, this stupid war we play hard with our plastic guns. Breathe deep, bottle it up so deep until it's all we got. Don't speak, just use your touch. Don't speak before we say too much. You hate me now and I feel the same way. You love me now and I feel the same way. Scream and we shout and make up the same day, same day»
Puisqu'il vivait tout seul, Damien devait faire ses courses par lui-même. Il devait en permanence se souciait de ce qui avait dans le placard, dans le frigo et si ce qu'il va utiliser ou non laisserait une quantité suffisante pour demain ? Au final, il y pensait constamment, c'était devenu une obsession - déjà que manger en était une. Mais voilà que, malheur, cette journée a dû être une exception. Après une longue journée au boulot, Damien était totalement lessivé par le nombre de paperasse et d'affaire qu'il a dû régler aujourd'hui et était bien content de rentrer aujourd'hui. C'est temps-ci, il remarqua que son lit et son chez-lui lui manquait de plus en plus; et bizarrement, on le faisait bosser encore plus que d'habitude ses temps-ci. Damien ne savait pas qui a causé quoi, comme à cette fameuse question de qui est sorti avant, la poule ou l’œuf. De même, Damien ne savait pas quoi répondre, et même s'il était épuisé, son stupide cerveau s'entêtait à le savoir du pourquoi. C'est là que soudainement - par total hasard en vrai, son cerveau passant du coq à l'âne - qu'il se rappela d'un détail crucial: il n'a pas de thé pour demain ! Son thé à la camomille comme personne ne les aimes sauf lui, son addiction, sa vie, sa pêche pour le lendemain - il y en avait plus. Et c'était crucial d'en avoir, en plus de toutes ses petites choses qu'il n'avait pas non plus pour demain, alors qu'il invitait quelques collègues à dîner. Damien savait qu'il n'aurait pas le temps le lendemain et s'était décidé tout à l'heure d'acheter tous ses petits trucs après le boulot - mais voilà qu'il avait oublier ! "Damn." Le jeune Cole jeta un rapide coup d'oeil à l'heure: onze heures et demi. Le centre commercial fermait à minuit, il avait encore le temps d'y aller... avec un peu de temps, il arriva peut-être à temps ! Enfin, il espérait ? C'est ainsi qu'il prit le volant de sa voiture à deux mains et effectua un grand détour pour aller dans le sens opposé, et roula à pleine vitesse. Il emprunta pour cela des routes ayant le moins de feu possibles, emprunta l'autoroute et arriva au bout de vingt minutes à destination. Avec empressement, Damien ferma à distance sa voiture, saisissa un caddie devant l’ascenseur et le prit pour monter du premier étage du sous sol où il avait garer sa voiture. Les portes de l’ascenseur s'ouvrirent aussi vite qu'elles furent fermer et le trentenaire fonça à pleine allure vers l'entrée de l'hypermarché, qui commençait à fermer. Ses cheveux plaqués en arrière, ses yeux bleus grands ouverts et de la sueur dégoulinait sur son cou et sur ses tempes, et un peu sur ses paumes qui les firent légèrement glisser sur le caddie qu'il tenait fermement. A pas de course, Damien parcouru tous les rayons de l'hypermarché, prenant ce qu'il avait besoin sans aucune hésitation. Après tout, il venait toujours faire ses courses ici - il savait donc exactement leur emplacement. Ses yeux captèrent dans les rayons des réfrigérés une promotion sur les glaces, et suivant son instinct de glouton, il posa aussitôt une main sur le pot de glace et une autre main s'y posait en même temps. C'était celle d'une belle jeune femme, et c'était surtout son regard qui l'a attiré; la jeune femme possédait des yeux verts eau qui lui rappelait les paysages de bonnes vacances - qu'il n'a pas eu depuis un bon moment et qu'il méritait pourtant d'avoir après tout ce boulot - et ses longs et épais sourcils parfaitement dessinés montrait qu'elle avait du caractère, que son aura était loin d'être superficielle. Sa corps toutefois relevait une très belle silhouette, le rêve de toute personne - homme ou femme - attiré par le sexe féminin. "Oh non, il y a pas de problèmes, prenez les quand même ! Allez y, je vous les offres; ceux aux citrons sont un véritable délice" répliqua-t-il lorsqu'elle insinuait que c'était pour sa fille. Aussitôt, la jeune femme les prit et se dirigea vers la caisse. Damien souria, pensant qu'elle était très belle et gentille comme maman, enviant presque son mari & puis continua ses courses. Déambulant entre les rayons vides aux yeux ébahis et amusés du personnel, Damien mit le tout dans son chariot - sans oublier le plus important de tous: son petit thé - et, essoufflé, il arriva à temps avant l'heure de la fermeture à la caisse, essuyant sa sueur d'un revers de main. Reprenant son souffle, le jeune Cole paya calmement et avec ses sacs dans le caddie, reparti calmement vers l’ascenseur. Il avait eu chaud - très très chaud. Quelqu'un de sensé aurait penser à y aller demain matin, avant le boulot ou quelque chose mais Damien était un drogué. Sans sa dose de thé de la journée, il n'y verrait que dalle, que des formes et des couleurs, sans comprendre sens à la vie. Le thé serait-il en train de le nuire ? Il y avait beaucoup de chose que Damien faisait qui pourrait le nuire - genre fumer, aller à gauche et à droite et j'en passe - alors il ne pouvait pas vraiment juger. "Je ne peux pas tirer des conclusions hâtives, alors ne blâmons pas tout de suite le thé, hein." murmura-t-il entre ses dents pour lui-même, incrédule par ses pensées. Comment pouvait-il douter une seule seconde que son seul amour dans la vie serait nuisible ? Jamais, au monde. Lui et le thé, love forever and forever, et rien ne peut les séparer à jamais. Il appuya le bouton qui appela l'ascenseur et les portes s'ouvrant sur un familier regard vert eau le fit sortit de son délire avec son thé, et il se faufila avec son caddie dans l'ascenseur. Une fois à l'intérieur, les portes se refermèrent et se mit en marche pour descendre pour le parking. "Bien le bonsoir", dit-il à son insu, se sentant un peu bavard aujourd'hui. Damien jeta un coup d’œil discret et esquissa un sourire. "Emplettes de dernière minutes aussi ?" taquina-t-il en montrant ses mains avec son sac. Il alla ajouter quelque chose d'autre à propos de cette fameuse glace lorsque soudainement il eut un bruit sourd et l'ascenseur s'arrêta. Damien fronça les sourcils, tapota sur l'étage du rez de chaussée qui pourtant était allumé mais l'ascenseur était toujours stoppé et les lumières de l'engin clignotèrent jusqu'à qu'ils s’éteignirent totalement. Le noir complet s'installa et aucun autre bruit s'en suivirent. "Oh oh... quand même pas pour un seul petit étage ?" lâcha-t-il abruptement. Tout ça ne sentait pas bon du tout...
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Nos nouveaux pseudos m'ont tué jpp :
Désolée s'il y a des incohérences, j'avais écris mon rp en pensant que j'étais celle qui commençait et je savais pas que tu l'avais déjà fait, donc j'ai essayé de changer vite vite. Heureusement que j'avais pas écris grand chose qui changeait de la situation habituelle (comment on est synchro pour le coup de l'ascenceur ) J'espère que tout de même ça va te plaire c:
Oh en passant, j'ai FAILLI oublier. Désolée du gros pavé j'était un touuuuut petit peu inspirée du coup j'ai uuuun peeeeeu exagérée. Bon normalement, avec la flemme que j'ai, je ferais pas plus gros que ça donc no soucis, pas de défi de longueur sinon j'vais y prendre part.... débile comme je suis.
« L'apprentissage passe par la théorie que l'on reçoit dans une classe alors que la pratique est délivré par l'homme sage qui est déjà dans la vie active. »
L'impression que le monde lui appartient. Que la vie n'est qu'une simple suite de demain. Vivre au jour le jour sans se prendre la tête. Thaïs est un étudiant comme les autres. Son objectif est de devenir avocat mais pas facile, du haut de ses vingt deux ans de s'y tenir. Surtout qu'à l'université, les fêtes rythmes la vie étudiante comme le simple fait d'aller trainer le soir dans les bars et autres lieux de loisirs. Il est vrai que physiquement, il fait un peu plus vieux que son âge. Un grand brun aux cheveux ondulés. Un style qui n'appartient qu'à lui mais son âge le trahi bien souvent par ses réactions encore enfantines voire de grand adolescent. Par moment, il peut se montrer d'une maturité incroyable et la seconde suivante faire un caprice comme un enfant de cinq ans. Son réveil vint à sonner. Une masse sous la couette qui grogne puis un bras qui se dessine et qui vient s'abattre sur le pauvre réveil pour le faire taire. Une chance que le matériel ne puisse pas porter plainte. Pour l'heure, ce grand indécis réside dans une petite piaule universitaire, un clapier à lapin selon lui mais faute de mieux. Faudrait il encore qu'il se bouge le fion pour se trouver une colocation.
Quittant son lit. Déambulant à poil les yeux encore à moitié clos par le sommeil. Il n'aurait certainement pas dû trainer hier soir. Enfin, il s'en foutait bien. Une douche froide réglerait certainement cet état matinal. Tout en y associant de la caféine. Les minutes s'écoulant, se préparant. Aujourd'hui, le jeune homme un peu rêveur se préparait non pas pour aller suivre des cours à l'université mais pour passer sa journée de stage dans le Cabinet de Maître Cole. Autant dire que pour l'instant, rien que l'idée l'emmerdait royalement. Passer sa journée à travailler n'était pas toujours dans les objectifs de notre étudiant. Il est vrai que le simple fait que l'avocat soit particulièrement séduisant rendait l'ouvrage bien plus agréable pour lui. Il pouvait au moins le reluquer sous toutes les coutures. Toutefois, leur relation restait purement professionnelle. Un étudiant, un homme dans la vie active autant dire que tout les opposes.
Dix heures du matin. L'étudiant se trouve au sein du cabinet. Il avait été saluer l'avocat qui se trouvait dans son bureau. Parfois, il y avait certains silences dont il se passerait bien. Préparant du café. Thaïs avait entendu dire que les avocats avaient leurs humeurs. Dans l'espoir de ne pas être celui qui allait subir ces dernières, il tentait de se faire petit surtout qu'avec son caractère, il ne laisserait pas l'homme plus vieux que lui avoir le dernier mot quitte à perdre son stage. Ce fut étonnant mais il se sentait autant attiré par le charisme de l'avocat qu'il avait envie de le fuir. Venant à frapper à la porte de son bureau, attendant qu'il lui dise d'entrer. Il passe simplement sa tête dans l’entrebâillement de cette dernière tout en affichant un sourire charmeur. « Je vous apporte votre café. » Preuve que ce n'était pas son premier jour de stage et qu'il connaissait certaines habitudes de l'homme de droit. Entrant dans son bureau et fermant la porte derrière lui. Il vient à donner la tasse à Damien.
« Vous travaillez sur quoi aujourd'hui ? Vous souhaitez une recherche, des photocopies ou que je puisse contacter certaines services. » Thaïs fut loin d'être idiot. Il n'est qu'un étudiant et ne peut donc pas tout faire comme l'homme qui est son maître de stage. Il est là pour apprendre, comprendre même mais surtout pour être formé au métier de justice sans même savoir s'il finirait avocat un jour. Surtout que notre étudiant est du genre à tout envoyer balader pour changer de chemin professionnel. Il n'est pas uniquement focalisé sur le droit. Il pouvait fort bien, dès demain, vouloir devenir bibliothécaire ou instituteur même fleuriste. Avec lui tout était possible.
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the story of my life
Thaïs & Damien
« It's funny how worlds collide, taking it all in stride, seemingly satisfied with this divide from that first day, deep in the lake»
Dans la vie, il y a un bon et un mauvais côté des choses. L'amour, le rire, l'amitié, la joie, la chance, la pûreté, l'excitation mais également le désespoir, la tristesse, la colère, les pleurs, la nostalgie, les défauts. Et parmis tous ses mauvais côtés, parmis tous ses malheurs que tu pourrais avoir du genre se faire renverser par une voiture ou se lrendre un rateau, il y a quelque chose de bien pire. Pire que la mort, qu'est ce que ça pourrait être ? Allez en avance pour bosser. Pas besoin de dessin pour montrer que parfois, Damien aimerait juste ne jamais se réveiller. Il aimait aon boulot, il aimait être avocat et connaitre tous ses gens, mais oh mon dieu, la paperasse. C'est un calvaire, immense. "Achevez-moi" soupira-t-il alors qu'il lâcha son stylo et mis sa tête entre ses mains. Il s'est réveillé hyper tôt pour venir faire sa petite paperasse avant que le procès. Il ne commençait pas avant quatorze heures mais avec tout ce que le boss lui donnait ses derniers temps, même s'il est arrivé à cinq heures et demie du matin, il ne finirait peut-être jamais à temps, pas tout seul. C'est inhumain de lui demander ça tout de même. Et pourtant, on lui a demandé et Damien était stressé par le temps qui passait à une vitesse fulgurente. Il était déjà sept heures et demie et la firme commençait petit à petit à se remplir; la plupart des avocats étaient déjà là, le reste n'était que les habituels retardataires. Damien n'en était même pas au quart. Ça le désespérait de plus en plus, ça le rend totalement dingue. S'il n'avait pas de prime après ça, il démissionne, c'est sûr. Lorsqu'on toqua à la porte, Damien releva la tête et fronça les sourcils à la venue de cet inconnu dans son bureau. Mais le café à la main et le petit badge de stagiaire pendu à sa veste lui fit rappeler la venue de son stagiaire. Il avait accepter il y a une semaine d'être son maitre de stage, il était déjà là ? Le temps passait vraiment à une vitesse fulgurante, ça le dépassait totalement. L'odeur de cafféine se répanda à travers ses narines. Il ne buvait pratiquement jamais du café parce qu'il préférait largement le thé et rappelait ses révisions aux examens du bar - très mauvais souvenirs d'ailleurs - mais il se trouve que le stress qu'il ressent en ce moment est équivalent à cette époque. Alors, pourquoi pas ? Comme on le dit si bien: aux grands maux les grands moyens. "Merci pour le café, mais si tu pouvais me ramener du thé à la place la prochaine fois ça serait gentil." répondit finalement Damien en prenant le café des doigts de son stagiaire. Il sirota légèrement et le poser dans un coin de la table avant de continuer à bosser. Le grand brun soupira. À quoi son boss pensait-il ? Était-il une sorte de super héros - un super avocat ? Il ne pourrait jamais y arriver à temps tout seul, c'était vraiment n'importe quoi ! Damien se leva soudainement en martelant ses mains sur la table, prêt à prendre le pas vers le bureau du PDG pour lui dire sa façon de penser, lorsque soudainement il s'arrêta net. Tout seul ? Mais il n'était plus tout seul ! Ses grands yeux bleus se posèrent sur la silhouette de son stagiaire, ses yeux cachés par ses grandes bouclettes s'abattant sur son visage. "Mais oui, bien sûr !" s'exclama-t-il soudainement, le visage illuminé par un sourire franc. "Bien sûr que tu peux m'aider et d'ailleurs tu seras d'une grande aide. J'aurais besoin que tu fasses quelques recherches sur ce que j'ai repassée en fluo et me trouver tous ce que tu peux savoir sur ses noms. Des numéros, relevés de cartes banquaires, téléphones, occupations. Et leur liens avec Interact Company. Fais moi alors deux photocopies de ce que tu trouves et donne les moi rapidement. Et illico presto. Capiche ? " Dit-il prestement en lui donnant quelques fiches au jeune homme et puis se dirigeant vers le combiné pour faire quelques coups de fil. "Oh et, Thaïs c'est ça ? Le café était bien fait, refais moi en et apporte le moi en revenant ici" ajouta-t-il avec un sourire, avant de bien lui demander de fermer la porte. Il tapota rapidement le combiné et mis l'appareil à son oreille, un sourire s'étirant sur son visage sans qu'il puisse le contrôler.
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The story of my life
Damien & Thaïs
« L'apprentissage passe par la théorie que l'on reçoit dans une classe alors que la pratique est délivré par l'homme sage qui est déjà dans la vie active. »
Pouvait on être d'une désinvolture hors norme et être le genre de type studieux en même temps. Thaïs est un paradoxe à lui tout seul. En ce moment, suivant des études de droit mais s'en même savoir si ce domaine en serait mon futur métier car tu pouvais admettre ouvertement que l'avenir enfermé dans une seule case te fait flipper. Trainant donc des pieds pour te rendre à ton lieu de stage même si étrangement, l'idée de passer du temps dans un cabinet ne lui déplait pas. Sentir et ressentir cette adrénaline particulière que de se savoir utile aux autres. Ce bâillement qui étire tes lèvres prouvant que ta nuit précédente fut loin d'être de tout repos. Poussant les premières portes de ce lieu de droit. L'étudiant se demandait vraiment si son désir fut d'être comme tous ses hommes et ses femmes qui sur l'instant ressemblaient tous bien plus à des fourmis allant de gauche à droite, certains manifestant un certain mécontentement alors que d'autres discutaient l'air détachés. Rien que sur l'instant, il aurait préféré être n'importe où qu'ici. Peut-être dans une prairie allongé sous les rayons du soleil. Comment lui demander sérieusement de penser ou même réfléchir à son avenir. Le droit, il aime ça mais de là à en faire son métier. Autant dire qu'il n'en savait rien.
Ses affaires posées à l'endroit qu'on lui avait indiqué. C'est avec du café qu'il vint à la rencontre de Maître Cole. Sa voix l'invitant à entrer. Première chose à retenir, l'avocat semble avoir une préférence pour le Thé. Il lui avait fallu une petite semaine pour l'apprendre. L'univers de la justice lui semble si particulier. Parfois grisant alors que d'autre moment c'est limite effrayant. Un court instant, ce n'est pas à une prairie qu'il pensa mais à la douceur du sable chaud de la plage. Il aurait été bien mieux là bas qu'ici. Tu te tenais devant son bureau sans savoir à quelle sauce tu allais être manger. Ressentir du stress n'est vraiment pas une chose habituelle pour lui. Il est du genre incroyablement zen, prenant la vie comme elle vient. Il est fort loin de s'imaginer qu'une histoire puisse naître entre lui et cet homme. Il est très loin de penser qu'il pourrait discuter d'avenir ou de choses importantes. L'étudiant ne pense qu'à ce qu'il allait faire ce soir, allait il choisir un bar ou serait il chez un pote. Le seul point commun entre ses deux choix, c'est qu'il y aura de l'alcool. Comment pouvait il croire ou même penser que sa vie était entrain de prendre un chemin différent. Qu'il allait vivre une situation qu'il ne pouvait pas imaginer à ce moment précis. Comment allait il gérer tout cela, ne manquerait plus qu'un jour, l'avocat séducteur lui parle d'enfant et là, le sol tremblerait sous ses pieds.
« Du thé. C'est noté Maître Cole. »
Si, on voulait lui briser les couilles, l'avocat ne pouvait pas s'y prendre mieux que ça. Se détournant de lui alors que l'homme l'avait tout de même remercier pour la caféine. Thaïs sursaute lorsque les mains de Damien percute son bureau. Se tournant, le suivant du regard. Lui passant sous le nez. Merde, tu venais de te surprendre à poser ton regard sur son cul sans savoir que l'homme comptait se rendre dans le bureau de son PDG. Détournant la tête. L'étudiant ne disait plus rien. Espérant que la tempête puisse s'apaisait toute seule. Se faire le plus petit possible pour que Maître Cole ne puisse pas vouloir passer ses nerfs sur lui. Lorsque ce dernier lui fit face. Tu déclines, tu sens un autre stress grimper en flèche. Déglutissant, tu as la sensation d'être un vulgaire morceau de viande lorsque l'avocat te donne tes indications. « Compris. » Malgré mon air nonchalant, de celui qui pense plus à aller faire du surf qu'à travailler. Je suis l'un des meilleurs de ma promotion. Ce qu'il me demande me paraît non pas simple mais pas à la hauteur de ce que je suis capable de faire. Je quitte son bureau pour me rendre à celui qu'on m'avait assigné pour assister l'avocat. Un endroit ressemblant plus à un vulgaire placard. Je soupire en espérant que la journée passe vite, très vite même. Je me mets au travail. Passant de trois coups de téléphone à divers services. Je reçois des mails puis lance une recherche comme il avait pu me le demander. Je fais également la recherche sur les noms qu'il m'a donné. Je ne savais pas vraiment comment prendre toute cette expérience. L'imprimante crachait les documents que j'avais trouvés puis sélectionnés pour l'avocat. Pendant ce temps, je lui préparais son café non sans une expression d'agacement sur le visage.
Son gobelet dans une main, je récupère l'objet de mes recherches espérant que je n'ai pas été trop long. Il m'a fallu plus d'une heure peut-être même presque deux bonnes heures. Je frappe de nouveau puis entre. Je pose mon regard sur lui toujours assis à son bureau. Je ferme la porte puis me dirige vers lui. Je passe derrière son bureau me mettant derrière lui. Par dessus son épaule, je me penche afin que mon visage vienne proche du sien. Tu déposes le gobelet de café sur le coin de son bureau. « Votre café Maître Cole. » d'ailleurs, tu prenais conscience que tu n'avais pas relevé sa question détourné sur ton identité. « Et, mon prénom est bien Thaïs. » Mes lèvres effleuraient son oreille alors que je me tiens au dessus de son épaule. Je dépose les documents devant lui. Je pointe mon doigt sur une partie que j'avais pris soin de surligner.
« Je ne connais pas votre affaire Maître mais après quelques recherches, vous constaterez que les bilans financiers de Interact company comportent des incohérences. Un expert comptable me la confirmé d'ailleurs, voici son expertise. » Tout en disant cela tu tirais le document du dessous pour que l'homme de droit puisse y poser son regard. « Pour les noms. Je pense qu'il faudrait que vous vous tourniez peut-être vers les forces de l'ordre ou obtenir un mandat car je n'ai pas trouvé grand chose. Puis, on ne peut pas véritablement se fier à ce qu'internet peut nous révéler. » Bordel, tu restais là, au-dessus de son épaule. Humant son odeur d'homme, son parfum. Je venais de fermer un court instant mes yeux. L'avocat à cette odeur de sécurité. Merde, je n'ai jamais été attiré par les types plus vieux. Je dois me ressaisir mais son odeur est enivrante. Reprenant le dessus sur mes idées étranges et tout aussi soudaines. J'attends le verdict de l'homme tout en restant bien trop proche de lui.
Je n'avais pas vraiment de raison de me plaindre de ma vie. J'avais une famille, un travail que j'adorais, une situation financière plus que confortable et des meilleurs potes que j'adorait. J'avais juste un gros problème : j'étais amoureux de la soeur d'un de mes meilleurs amis. Mais comme on ne peut pas tout avoir dans la vie, je prenais sur moi un maximum. Mes amis étaient vraiment tout pour moi, on déconnait comme on avait des discussions sérieuses - mais surtout on décompressait ensemble. Ce jour-là, j'avais d'ailleurs invité Damien, un de mes meilleurs amis à venir passer l'après-midi chez moi. Au programme : hokey sur glace, bière et pizza ; de quoi passer un excellent moment.
Je préparais ma maison à l'arrivée de Damien. Un aspect de ma personnalité que peu de personnes connaissent : j'adorais cuisiné. Je nous préparais trois pizzas différentes ainsi que des bols avec des biscuits apéritifs. Je sortis ma vieille glacière et y déposais le premier pack de bière au fond. J'avais tiré la table basse de façon à ce quelle soit directement à nos pieds et y avais déposé les biscuits et les pizzas. Je savais que Damien allait me chambré pour ça mais au moins, on devrait être bien pour regarder notre match. En parlant du loup, on sonnait à la porte.
- Salut Dam', dis-je en ouvrant la porte. Viens, fait comme chez toi, tu as l'habitude.
Je rigolais et m'écartais pour le laisser passer.
AVENGEDINCHAINS
Men's evening
Liam & Damien
« Rising up, straight to the top. Had the guts, got the glory, went the distance, now I'm not gonna stop just a man and his will to survive. It's the eye of the tiger, it's the thrill of the fight. Rising up to the challenge of our rival »
Ces temps-ci, Damien avait l'impression qu'il n'y avait que le travail dans la vie. Ses dernières semaines passaient trop vite et ce qu'il considérait comme liberté qu'il avait pour but dans son divorce, il semblerait que le temps n'y était pas compris en fin de compte. Tout passait trop vite. Il avait encore l'impression qu'hier était sa bal de promo. Damien avait enchainé rencontre sur rencontre ses dernières années, mais parmis toutes ses rencontres, il y en avait une avec qui il pouvait toujours compter pour du renouveau. Une rencontre pas problématique, loin du travail et du fun garantie. C'est à ce moment là qu'il lui ouvrit la porte et l'invita à rentrer: Liam. Celui-là, il ne l'avait jamaos regretter et aussi loin qu'il s'en souvienne, ils ont tout de suite connectés. Liam était tout ce qu'il recherchait en l'humanité, le meilleur ami de l'Homme. Et Damien le considérait comme tel. "Évidemment que je fais comme chez moi, tu as crû quoi !" s'exclama-t-il dans une fausse indignation, puis éclata aussi de tire. Il échanga une forte poignée de main et tapota de l'autre le dos de son ami comme ils savaient le faire avant de pénétrer dans la demeure. L'odeur de pizza feu de bois y régnait dans cette place et Damien s'avança de plus en plus vers le salon où la télévision était allumée, quelques minutes avant que le match de hockey sur glace ne commence, et constata que la table était pleines de nourritures et de boissons: trois sortes de pizza, plusieurs assiettes de chips et toute sorte de petites choses. Damien pivota complétement pour faire face à Liam, l'air grave et ses yeux bleus perçant fixant ceux du plus jeune. "Tu peux vraiment pas t'empêcher d'en faire trop, hein ?" Finit-il par dire mi-amusé, mi-exaspéré et poussa un grand soupir d'exaspération. "Tu n'as pas changé, même quand je t'ai rencontré, tu exagérais aussi à ce moment là" ajouta-t-il dans une pointe d'amusement. Il aimait beaucoup le taquiner et n'hésitait pas à dire ce qu'il pensait, parce que c'est ce qui l'a plu dans sa relation avec Liam dès le début. C'était une de ses formes de liberté, une liberté d'expression avec ce qu'il considère comme son meilleur pote. De sa main, le brun sortit un sach en plastique et le posa sur la table, le montrant au maitre des lieux avec un sourire. "J'ai ramené des nachos et des frites." Il ouvrit prestement le sachet pour reveler quatres paquets de carton chauds et s'installa confortablement devant la télévision. "Comment tu vas sinon ? Ça fait un bon bout de temps tout de même. " Damien était occupé par son boulot mais il se demandait vraiment ce que Liam faisait.
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Men's evening
Liam avait tendance à oublier combien ça lui faisait du bien de voir ses potes. Une présence masculine de plus dans la maison était là bienvenue, surtout depuis qu'il avait accepté une colocataire. Bien qu'elle était assez discrète et pas souvent présente dans la même pièce que lui, il voyait bien les escarpins et les foulards à côté de ses baskets et de ses vestes dans l'entrée. Un peu de virilité ne ferait pas de mal à cette maison, sauf peut-être aux fauteuils qui finiront aspergés de bière. Malgré leur différence d'âge, ils s'entendaient à merveille, si bien qu'ils pouvaient se dire absolument tout ce qu'ils souhaitaient. Cette confiance et totale franchise qui liait ces deux amis étaient la base de toute longue fraternité - car oui c'est comme ça que Liam les voyait : comme des frères. « Je sais, je suis trop dans l'excès parfois, mais qui sait, un jour ça pourra plaire à une femme », dit-il sur la rigolade. Il avança avec Damien vers le salon, tout en marchant, Liam reconnu l'odeur de nourriture, mais pas n'importe laquelle, de la bonne malbouffe qui accompagnait les jours de match. Aussi excité qu'un gamin le soir de noël, il regardait son meilleur pote sortir les nachos et les frites du sac. Liam fit une place sur la table basse et les y plaça. S'affalant dans le canapé, il regarda Damien. C'est vrai qu'ils ne s'étaient pas revus depuis un moment - un long moment. Il tendit le bras pour attraper deux bières, les décapsula et en tendit une à son ami. « C'est clair que ça fait un moment qu'on s'est pas vu, il faudrait qu'on se fasse ce genre d'après-midi plus souvent ».Il prit une gorgée et reprit. « Oh, tu sais, moi ça va toujours. A l'agence c'est super, les affaires marchent bien en ce moment, on n'a pas trop de soucis à se faire de ce côté là. Sinon, j'ai aussi accepté une colloc' et Lullaby ne sait toujours pas qui je suis - pas grand-chose n'a changé. Et toi, qu'est-ce que tu deviens, ton boulot n'est pas trop pensant ? ». Liam avait toujours pensé que les métiers du droit, comme ceux de la médecine étaient les pires. Non pas parce qu'ils étaient difficiles, simplement parce qu'ils demandaient une certaine distance vis-à-vis de la vie privée, et il ne pensait pas en être capable. Il piqua des nachos et des cacahuètes avant de tendre les plats vers Damien.
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Men's evening
Liam & Damien
« Rising up, straight to the top. Had the guts, got the glory, went the distance, now I'm not gonna stop just a man and his will to survive. It's the eye of the tiger, it's the thrill of the fight. Rising up to the challenge of our rival »
Liam qui parlait de femme le faisait tout drôle. Gentil, attachant et ventre sur patte, ça c'était comment il le voyait, comment la femme qu'il mériterait devrait le voir et l'aimer pour ce côté là. Mais qu'est le point de vue d'un meilleur ami contre celui de l'âme soeur ? Rien, apparement. "Peut-être, mais ce genre de femme, c'est la bouffe qui lui plait, pas toi. Mais bon évidemment, y'a toujours une exception à la règle et elle est faites pour toi. T'inquiète, tu la trouveras mon vieux, tu l'as même déjà trouvé qui sait ?" Damien avait une petite idée de qui ça pouvait être mais il se taisa, ne disant rien à son sujet. Tout ce que Damien voulait, c'était le bonheur de Liam. Et là ce qu'il a besoin, c'est de la masculinité, de la bonne virilité et passer une bonne soirée. Sans boulot, sans filles, juste eux deux et ce magnifique match de hockey sur glace qui allait commencer. Damien acquiesca l'idée, il aimerait beaucoup revoir Liam de temps en temps. Mais les deux avaient des boulots très prenants, ce qui les empêchaient de se voir autant qu'ils auraient voulu. "Bien sûr, et dans ses cas là tu sais toujours où me trouver.">Il buva une grande gorgée de sa bouteille de bièrre et tâta à la recherche d'une tranche de pizza que Liam a préparé. "Oui j'ai remarqué les escarpins et les foularda à l'entrée, mais je croyais que c'était toi qui te féminisait un peu." taquina Damien d'un ton moqueur "mais une colloc ? Une fille ? Et comment elle se nomme ? C'est super pour ton boulot par contre, nous c'est infernal. Procès sur procès, cas sur cas, et tout à la suite, tellement que j'en vois même plus le bout. Septembre est connu pour être un mois où les affaires se multiplient. Faut croire que la rentrée a toujours été une source de problème, même adulte. " Il poussa un soupir. En étant petit, la rentrée n'était pas son truc préféré non plus. Avec Noël et la fin de l'année, c'était aussi deux des trois mois les plus infernals dans les affaires légales. Des familles qui se déchiraient et qui essayaient de se retrouver, ceux qui se défendaient contre une autre, ceux qui protégaient. Larmes et peines faisaient une partie intégrale du métier, et ce il l'avait saisi dès son premier jour, sa première et son premier procès. Tous les boulots avaient ses problèmes et celui d'avocat n'est en aucun cas de passer l'examen du bar. L'expérience était la clé du savoir. Damien empoigna une portion de cacahouètes et mangea trois ou quatre nachos qu'il fourra rapidement dans sa bouche. Son visage s'endurcit soudainement rt il leva les yeux vers son ami. Posant les assiettes sur la table, il adopta un air sérieux. "Merci. Mais tu sais mec, écoutes... Faut faire quelque chose pour Lullaby, ça peut plus continuer comme ça. Ça te démanges cette histoire et ça se voit. Et tu sais que tu peux toujours compter sur moi ?" Il posa une main sur l'épaule de son ami, lui offra un sourire rassurant et puis lâcha finalement un sourire. Même en étant un intrus dans cette histoire, Damien s'inquiétait pour eux bien plus qu'ils le faisaient eux même. Voir son ami ainsi l'attristait aussi, il était vraiment évident qu'il devait faire quelque chose pour ses deux là, parce que ça nous pouvait plus durer.
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Spoiler:
Lulla et moi, on a un lien considérablement proche , donc tu veux prendre en compte notre liens ou faire comme si c'est une autre Lullaby, que Damien ne connait pas ?
« Don’t walk in front of me, I may not follow. Don’t walk behind me, I may not lead. Walk beside me, just be my friend »
« Saloperie ! » Un bruit sourd retentit sur le volant, Damien ayant tapé du poing sur celui-là. Il poussa un juron lorsque le capot de sa voiture dégagea de la fumée, pas très rassurante, et n'osa même pas y jeter un coup d'oeil. Il imaginait déjà le désastre à l'intérieur et jura une nouvelle fois. Damien jetta un regard sur sa montre pour voir qu'il était pratiquement minuit et que demain il devait être à son cabinet pour un rendez-vous de bonne heure. Le Cole soupira, dessérra sa cravate bleu et posa sa tête sur le volan. Il venait de sortir d'un dîner avec ses clients au The Hills qui tourna pour une tournée de vin et de champagne. Il leur a essayé de faire comprendre que le temps était bien trop court et qu'il ne voulait pas trop s'incruster, alors qu'en ce moment même il serait allongé nu comme un ver sur son sofa préféré à regarder une bonne série sur une bonne bièrre. Cette seule pensée lui donnait envie de chialer, et il se contenta de pousser un gémissement plaintif sur son volant. Il a tout de même réussi à les faire convaincre qu'il devait encore conduire chez lui, et n'a heureusement pas trop bu. Mais alors qu'il était enfin délivré de ce très long rendez-vous, voilà que sa caisse lui faisait des siennes et s'arrêta soudainement pour aucune raison. Il lui manquait plus que ça, que sa voiture tombe en panne ici, au milieu de nulle part. Damien ne connaissait aucun garage dans le coin et encore moins ouvert à cette heure-ci. Il faisait sombre en plus, la rue était vide et il se doutait tout de même qu'il devra trouver un autre moyen pour de l'aide. Le brun releva la tête et scruta la belle rue de ses yeux, toutes ornées d'immenses villas et de spacieuses résidences. Une captiva ses beaux yeux bleus, dont on pouvait apercevoir par derrière ses rideaux que les lumières étaient encore ouvertes. L'avocat sorta de sa bagnole et se dirigea au pas ds la porte de la villa illuminé. Il hésita, puis finis par sonner et toquer trois petits coups. Damien passa rapidement une main dans ses cheveux et remit sa cravate bien droite, les mains un peu moites avant que la porte s'ouvre devant lui. Il croisa le regard avec deux beaux yeux bleus plus claires que lui et enleva ses mains de sa poche. « Bonsoir, désolé de vous déranger, mais ma voiture est tombé en panne et j'aurais besoin d'un peu d'aide si vous le voulez bien ? » Le brun fit de grand geste avant de pointer derrière lui sa voiture bleu métallique qui dégageait toujours de la fumée noire de son capot. Il tenta un sourire désolé qui se finit crispé puis se gratta la nuque, légèrement inconfortable.
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All I need Alasky &&’ Damien
Après un longue journée de uit heure de travail dans arrêt, j'allais plonger dans un profond sommeil. J'étais épuisé de ce travail, sans relâches, sans intervalles, sans répis. ' Après l'effort, le réconfort ', cette citation me met super bien en valeur, c'est tout-à-fait moi. C'est comme la pub de Kinder, une femme doit toujours avoir un moment de repis, là c'est la même chose. En plus, il n'y avait que des soulards aujourd'hui, soit en dépression, soit sur le point de divorcés soit il attend un enfant. Après plusieurs mois dans ce bar, on reconait très vite les personnes qui pénètrent dans le bar. Il s'agit peut-être du professionnalisme ou même de l'ancienneté. Ou même un don, mais ce ne serait pas le cas. Mais le principal c'est que je suis en vie, et que je suis prêt à aller dans mon lit. La villa est noire, toutes les lumières étaient éteintes, il y avait juste la lumière de la salle de bain qui était allumée. Je l'avais oublié mais je n'avais pas très envie d'aller l'éteindre, juste cent euros de plus sur l'électricité.
Arrivé devant le pied du lit, je fesais un saut digne d'un grand sauteur de haie. En réaterissant sur mes deux jambes, prêt à dormir, c'est plutôt un sommeil profond qui commençait. La couverture sur moi, les pieds au chaud, j'étais prêt à dormir, je fermais délicatemment les yeux pour me plonger dans un sommeil profond. Je commançais à rêver, de mon passé. Je voyais en moi, les fêtes qu'on organisé à l'honneur du maire de la ville, après tout, c'était le mer. «Toc Toc Toc» se bruit de fesait entendre depuis la porte d'entrée. Je me réveillais en sursaut, j'étais en train de manger le gâteau, il ne fallait pas arreter là ! J'étais torse-nu, en short court, dans cette chaleur il ne vaut mieux pas mettre un pantalon pour dormir. Je courrais vers la porte d'entrée, ouvrant celle-ci rapidement. Je voyais devant moi un homme, remplit de graisse de voiture de couleur noire. Sa m'effrayer, car il fesait sombre, j'y voyais presque rien, je mettais tellement presser que je n'ai allumé aucune lumière.!
« Bonsoir, désolé de vous déranger, mais ma voiture est tombé en panne et j'aurais besoin d'un peu d'aide si vous le voulez bien ? » J'entendais sa voit légèrement rauque et fluide. Il venait pointer sa voiture bleu du bout de son doigt, et c'est à ce moment, que je me rendais compte de l'importance de l'entraide. « Vous ne me dérangez pas du tout, entrez vous mettre au chaud » Pour un si beau brun qui erré sur la route, le mensonge pouvait tout camoufler. Je m'écartais alors, laissant le passage libre pour qu'il s'avançe dans la maison. En entrant dans la maison, c'est yeux était si gros, qu'ils étaient semblables à des tomates. c'était un signe d'émerveillement, je pense. « Vous avez déjà mangé ou pas ? »sss Je venais le fixer de mes yeux bleus en attendant une réponse qui changerait ma vision de lui, si il est un vrai mangeur, ou il prend soin de lui.
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Alasky & Damien
« Don’t walk in front of me, I may not follow. Don’t walk behind me, I may not lead. Walk beside me, just be my friend »
Damien n'aimait pas s'incruster chez quelqu'un, surtout aussi tard. Il sentait toujours que la personne était mal à l'aise, bien qu'accueillant et n'aimait pas trop déranger. Parce qu'il savait ce que ça faisait, comment parfois c'est énervant et stressant, quand il faut faire attention à chacun des petits détails d'une personne pour qu'elle n'endommage pas. Surtout si cette personne arrivait à l'improviste et que c'est un parfait étranger. La personne qui l'accueille à la porte était un beau jeune homme, aux bouclettes blondes et des yeux aussi bleu que les siens. Il était jeune, ne faisant pas plus de la trentaine, et adoptait un sourire très chaleureux malgré cette heure tardive et des signes de fatigue. Le blond venait sûrement de rentrer du boulot ou venait de se reposer, jusqu'à que Damien ne sonne à la porte. Pourtant, l'étranger lui souriait et dégageait une aura très accueillante, ne se montrant pas du tout dérangé par sa venue. Ce qui n'arrangea pas du tout le cas du Cole ayant pleins de remords et regretta encore plus le fait de s'incruster dans la demeure du jeune homme. « Vous ne me dérangez pas du tout, entrez vous mettre au chaud » Damien murmura un léger remerciement à l'égard du jeune homme puis s'empressa dans la demeure. Plus vite il sera rentré, plus vite il sera finit, se dit-il. Il jeta un coup d'œil aux alentours, impressionné malgré lui par la grande et spacieuse maison. Elle n'avait rien l'air d'impressionnante comparé à celle de ses clients qu'il a visité auparavant, mais Damien l'aimait vraiment bien. C'était bien décoré, un meuble très moderne, et bien placé pour qu'on puisse librement y circuler sans être pris par quoi que ce soit- que ce soit par un bibelot ou des fils ou quoi que ce soit. Il avait longtemps pensé à s'attacher une maison, mais à quoi bon ? Il était seul, et si c'était le luxe ou l'espace pour lui tout seul, le loft le suffisait largement. Mais Damien envisageait dans un futur proche des enfant, et La Colline était un quartier résidentiel idéal pour une famille. Le brun envisageait peut-être emménager dans le voisinage à ce moment-là, et il l'imaginait déjà... « Vous avez déjà mangé ou pas ? » La voix du jeune blond le ramena à la réalité à temps, et il pivota à l'encontre de ce dernier, légèrement surpris. Il se surprit avec un sourire béats au visage, adouci par les pensées qu'il a eu et se reprit rapidement, s'éclaircissant la voix. « Oui, ne vous inquiétez pas pour ça. Et merci encore. » répliqua-il en lui offrant un sourire sincère. Damien remarqua que le jeune homme était plutôt court, bien que c'était plutôt lui qui était trop grand de taille. Les gens lui faisaient beaucoup remarqués d'ailleurs, le remarquant toujours par sa taille et par ses yeux. Bleus de chez bleu. Il secoua la tête, observant qu'il s'était une fois de plus égaré. « Désolé encore d'avoir débarqué à une heure tardive, je sais que ça doit être inquiétant qu'un étranger débarque soudainement chez vous, même pour de bonnes raisons...» s'excusa-t-il d'une petite voix puis il marqua une pause avant de reprendre d'une voix confiante et habituellement rauque. «Mais je vais seulement appelé un remorqueur ou mon assurance, et je partirais dès que possible. J'aurais juste besoin d'un garage ouvert et le plus proche possible... je ne connais pas la région à vrai dire » Damien s'empressa alors à sa tâche, se dirigeant près du combiné de téléphone, déterminé et jetant un regard au blond, en quête d'aide sur ce fameux numéro.
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All I need Alasky &&’ Damien
Je ne voulais pas vraiment dormir, c'était en option, je préfèrais regarder la télé' ou autre chose. Il était si tard, que si je dormais véritablement, je ne me serais pas réveillé. Déjà que je commençais à dormir, c'était un sommeil court, mais j'étais pas prêt de dormir. C'était juste un petit rêve, qui traversait ma tête en rentrant par une oreil et en sortant par l'autre. J'étais pas le genre de mec à drmir dès qu'il en a l'occasion, je suis pas un dormeur de première. Déjà que je suis somnombule, ça agreverait mon cas.. Je suis somnobule depuis pas ma naissance. Lors que j'étais petit, je me réveillé souvent devant la porte d'entrée de la maison, fermée à clé ou même dans un plaquard. C'était des mauvais souvenir car ma mère était partit voir un médecin et le médecin avait dit que j'étais possédé.. Mais ce n'était que des salades, ils m'ont mit dans un hopital d'enfants, un CHU et ils ont compris que j'étais juste somnombule et heureusement. Mais cette soirée, toutes les pensées de la nuit précédente me revenait à l'esprit, lorsque j'étais avec Loukas.. Que des bons souvenirs, si bons que j'en fermais plus un oeil. Je voulais tellement qu'il revienne mais en ce moment, ce n'était pas lui, mais un homme qui paraissait plus âgé que moi. Ce n'était pas du tout la même chose, ils étaient tous les deux différents, Loukas est plutôt, sombre et froid, tandis que lui tait plutot, maniaque et bavard..
J'étais devant lui, je remarquais sur lui ses habits chauds, il venait de la ville, car il était en chemise, pantalon.. En cette saison, à la Colline, on devait avoir une veste. Je le voyais scruté la maison, comme si elle le fascinait. ses yeux allaient presque sortir de son visage, tellement il était surprit. Il devait être fier d'être tombé sur moi, car le voisin d'à côtés ne risquait même pas de lui ouvrir. Je l'entendais souffler quelque remerciement, j'en étais flatté. C'était si beau, mais un peu habituel. Beaucoups de personne me remercie, peut-être que je fais trop de bonnes actions.. Mais je suis comme ça, et je peux rien y faire; C'est ma personnalité, et je ne suis pas sur le point de changer. Je peux avoir l'air gamin, et immature, mais je peux paraître plus mature que quelqu'un plus âgé que moi. Je ne prend pas ça pour un atout, mais surtout pour un secret. Je le regardais de mes yeu bleus, je l'avais demandé si il avait mangé, car parfois.. Les hommes vont dans les bars pour boire, mais pas pour manger. C'était peut-être le cas, mais je ne pensais pas, je voyais sur lui un air contrarié, ou même désolé. Il était très mignon.. Je voyais qu'il avait besoins d'aide, mais la seule chose que je pouvais faire c'était d'attendre avec lui.
Je l'entendais me rassurer, en disait qu'il avait mangé, j'avais toujours quelque chose dans mon frigo, ce n'était pas un problème pour moi. Son sourir angélique venait à la rencontre du mien, c'était la seul chose qu'on pouvait faire. Je le voyais qu'il était perdu, si perdu qui secouait souvent la tête de droite à gauche.. Il était plongé dans mes yeux bleus Sa arrive souvent malheureusement, mais je prend sa, même sans paroles, comme un compliment. Je l'entendais s'excuser une énième fois, avec sa voix rauque, mais il était si perdu, qu'il avait fait une pause.. Et il reprennait en s'assurant qu'il partirait bientôt.. Mais c'est impossible, à cette heure ci, il n'allait pas partir de ci tôt. Il fait nuit, une nuit de pleine lune, les remorqueurs doivent être en train de dormir dans leurs camions bennes. Voyant qu'il allait de sa démarche rapide vers le combinet de téléphone, je prennais sa main droite avant même qu'il puisse taper sur un chiffre. Sa main était douce, si douce qu'elle était semblable à une couverture en peau d'ours.
« Met-toi à ton aise, tu n'es pas prêt de trouver un remorqueur, ils dorment tous. » Je prennais ma voix douce et médium, car je n'avais pas de voix rauque comme lui, ou Loukas.. J'étais aussi tendre que possible car je voulais le convaincre de rester ici.. Il aurait insister, je l'aurais encore rapeller. J'enlevais sa veste sur lui, qui ne protégeait rien, elle était en un tissu doux et simple. Je venais mettre celle-ci sur le porte manteau créé à son égard.
All I Need
Alasky & Damien
« Don’t walk in front of me, I may not follow. Don’t walk behind me, I may not lead. Walk beside me, just be my friend »
Damien pivota lorsqu'il sentit une main l'empoigner. Il fronça les sourcils, légèrement surpris de ce soudain contact avec le blond. Il échangea une nouvelle fois un regard, rencontra de nouveaux ses yeux bleu azurs et ça le décontracta d'une certaine manière. "Vous avez raison, désolé" lâcha-t-il finalement. Le Cole soupira et posa une main sur celle de l'inconnu avec un dos sourire rassurant, l'encourageant à le relâcher. "Je voudrais tout de même un verre d'eau, si ce n'est pas trop demander. " Ajouta-t-il, le regardant dans les yeux. Il lâcha de nouveau un soupir lorsque la tension entre les deux se relâcha et Damien run a hand on his hair. Le brun resta un moment à regarder le tapis - un très beau, beige - et demandait ce qu'il allait faire maintenant. Il s'asseya au salon et regarda les alentoura d'un air curieux. Il ne cessait de se le répéter, mais cette maison était vraiment grande. Damien jetta un petit coup d'oeil à l'étage et vit qu'il n'y avait pas une mais plusieurs chambres. "Vous vivez seul dans cette grande maison ?" Dit-il assez fort pour que le jeune homme puisse entendre. L'étranger n'avait pas à le répondre et Damien devrait s'occuper de ses affaires, mais bordel de merde il l'enviait. L'avocat enviait qu'il ait une belle maison. En mête temps il avait de l'argent, il pouvait s'en attacher une mais le loft le suffit, ça lui a toujours suffit. Alors pourquoi enviait-il ce jeune homme ? Damien ne savait pas, sûrement la fatigue. Le Cole resta un moment, pensif puis il ouvrit la bouche pour dire quelque chose mais aucun son n'en sortit. À la place, il posa son verre dès qu'il l'ait bu et pivota vers le jeune blond. Damien regarda ailleurs, cherchant ses mots quelque peu hésitant dont la manière auquelle il pourrait aborder ce qu'il eut en tête. Un sourire se torda sur son visage, un franc et moqueur et leurs regards se croisèrent. "Question idiote, mais vous n'avez pas peur ? Soudainement un inconnu rentre chez vous, avec une issue de le faire sortir, et cet individu s'asseoir, boit de l'eau et pose des questions débiles... Ça vous dérange pas un peu ?" Il lâcha un pouffement, se moquant. Pas du pauvre jeune homme, mais de lui même. Voilà que son vrai caractère ressortait soudainement, curieux et un peu trop spontané, celui qu'on appelait Dingo et qui questionnait tout. On peut dire que Damien se sentait au travail, avec un collègue; entre le professionalisme et le personnel. Il était débousselé le pauvre, ne sachant pas quoi faire une telle situation. L'homme se racla la gorge puis tendis la main, souriant. "Je ne me suis pas officielement présenté. Je suis Damien Cole, mais appelez moi simplement Damien. Je suis avocat à la firme de Burlington, spécialisé dans le droit des mineurs plus exactement. Et comme voua le voyez, ma voiture est tombée en panne !" ajouta-t-il dans un ton légèrement plus joyeux. Damien sentait qu'il avait le coeur plus léger, comme si on lui avait enlevé du poids sur les épaules. Apparement, il ne pouvait aller nulle part et risque de rester ici jusqu'au petit matin, alors autant sympathiser ? Et c'est son truc malgrés tout...
«Si la vie était si simple, si facile. Je parviendrais peut-être à sourire, à me confier mais la vie m'a tellement porté de coups que désormais sourire n'est pas chose facile pour moi»
Si, on venait à lui poser la question. Loukas dirait simplement que la vie est une chienne. Que parfois, tel un os, elle ronge votre bonheur pour ne vous laisser que chagrin et tristesse. Évidemment, il ne voit pas tout en noir. Il de ce genre à voir le verre à moitié vide plutôt qu'à moitié plein. Pessimiste certainement. Notre grand jeune homme brun, au corps parfaitement bien dessiné. Qui possède un regard couleur noisette parfois très expressif face à certaines situations pense ne pas mériter ni même attendre grand chose de la vie. S'étant, trop jeune à l'époque pour faire face aux blessures de la vie, entouré de cette étrange barrière invisible pour sceller son cœur. Le jeune avocat a cette peur de l'autre. Non pas dans les échanges qu'il estime normal ou ordinaire mais le genre d'échange où l'on peut voir que l'autre vous porte un certain intérêt. Il a d'autant plus peur s'il parvient à lire dans le regard de l'autre que la personne peut parvenir à se projeter avec lui dans une vie de couple. Le plus paradoxale dans cette histoire est qu'au fond, il aimerait avoir une telle vie. Pouvoir rentrer le soir et retrouver son homme. Que ce dernier puisse s'être occupé du chat et avoir fait les courses. Qu'il puisse l'attendre allongé dans le canapé à moitié nu tout en lui adressant un regard de biche lorsqu'il franchirait le pas de porte. Prendre une douche crapuleuse avant de devoir affronter une journée de travail. Que cet homme puisse lui parler voyage, mariage et pourquoi pas enfant mais pour l'instant, tout ces désirs restent comme en sommeil, comme des interdis. Maître Grey ne peut pas vivre de telles choses car il pensent fortement que la souffrance en découlera obligatoirement.
De la musique qui donne une ambiance sympathique à l'endroit sans pour autant rendre sourde n'importe quelle personne voulant simplement boire un verre. Des groupes d'amis autour des tables rondes pour facilité l'échange. Un petit espace dégagé pour que certains puissent danser. Un peu plus tard en soirée, le lieu proposerait même de quoi se restaurer. L'avocat allait trainer un peu en ce lieu ce soir pour éviter de rentrer chez lui et d'être confronter à cette solitude qu'il s'impose. Il faut dire que malgré son physique avenant, sa beauté masculine et son potentiel séduction. Loukas donne bien rapidement l'air d'être renfermé, froid, peu sociable. Plissant son regard dont la couleur sombre parvient à accentuer les traits de son visage lorsqu'il veut chasser toute personne essayant de l'approcher. Il préfère nettement passer pour le gros con de service plutôt que de laisser croire à certaines personnes qu'ils avaient la moindre chance d'entrer dans sa vie. Alors oui, il est paradoxale. Vouloir être aimer mais ne pas souffrir. Il aimerait tellement trouver l'homme qui aurait les couilles d'essayer de briser sa carapace. Cet homme qui aurait les couilles d'affronter son mauvais caractère en osant parfois lui dire qu'il a tort ou qu'il puisse fermer sa gueule pour se laisser faire. Un homme qui puisse aimer son côté sombre, froid et qui ne parle que rarement de ce qu'il ressent. Un homme qui serait assez intelligent pour lire en lui sans qu'il ne doit toujours mettre un mot sur un geste ou une intention.
« Un whisky. »
Une voix grave, suave car il sait qu'il possède ce fort capital séduction. Un simple sourire, pinçant ses lèvres afin de faire rougir la serveuse de l'autre côté du bar. Surtout qu'il ne laisse pas voir ou entendre qu'il puisse être homosexuel. Loin d'être une grande folle. Il est grand, une carrure solide taillée par le sport. L'avocat dégage une masculinité incroyable qui ne peut que laisser un dommage ou quel gâchis entre les lèvres féminines. Du moins, les hommes qui s'intéressent à lui ne s'en plaignent pas. Du moins, ainsi, malgré le ton froid et sec de sa voix, la jeune femme qui vint à lui donner un verre n'avait pas mal pris sa demande, ce fut tout le contraire. Pensant passer une soirée tranquille certainement à ruminer sa solitude. Il tournait sa tête en direction de l'homme qui venait de prendre place juste à côté de lui. Loukas soupirait fortement pour démontrer son soudain agacement.
« Maître Cole. » Il ne pouvait pas dire mieux. Il n'avait même pas envie de dire plus. Le jeune homme semblait si désabusé. Et surtout, il n'avait pas envie de tenir le crachoir à son confrère dans le monde de la justice.
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Justice & Gueule d'Ange
Loukas & Damien
« I don't want to be anything other than what I've been trying to be lately. All I have to do is think of me and I have peace of mind. I'm tired of looking 'round rooms, wondering what I've got to do or who I'm supposed to be. I don't want to be anything other than me »
"Tu connais pas un endroit qui te fait sentir comme chez toi, mais où quelqu'un te sers à boire ?" Annonça Damien à son collègue sous un ton ironique, cherchant une bonne adresse de bar dans le coin. Damien n'avait pas trop envie de rester tout seul et renfermer chez lui, à picoler comme s'il venait de se recevoir un rateau la journée même. Il reconnaissait que c'est ce qu'il faisait parfois - parfois même accompagné d'une assiette complète de loukoums - en rentrant d'une dure journée au boulot ou après diverse rendez vous. Le brun s'est rendu compte qu'il semblait un peu trop las ses temps-ci, qu'il ne bougeait plus ou était très vite fatigué, alors qu'il exercait ce métier et avait ce mode de vie depuis bien longtemps. Il était bien habitué, pourquoi se plaignait-il comme un homme âgé ? Il avait pris du poids et la quarantaine le prenait petit à petit. À cette pensée, le Cole a décidé se reprendre en main. Et la première étape est un arrêt à un bon bar. Damien se gara au parking et les clés de sa voiture tournoyant sur un doigt d'une main et l'autre dans sa poche, il entra dans le bar. Il était spacieux, pas bondé de monde mais pas vide non plus et l'ambiance était convenable. Quelques uns fumaient, d'autres avaient leur tables pleine de shooters et en était sûrement à leur neuvième à l'heure qu'il est, des acclamements et des applaudissements provenant de la petite foule d'amis autour d'eux, chacun une bouteille ou un verre à la main. Il aperçu également une ou deux petites tables de poker et l'ambiance au billard au fond de la salle battait à son plein. Vieux comme plus jeunes étaient là, et s'amusaient. De l'ambiance sans qu'il en fasse partit, c'est ce que Damien cherchait aujourd'hui. Il alla d'abord au comptoir pour s'y installer; son petit amusement viendra plus tard dans la soirée. Le Cole avait déjà capté deux ou trois petits minois au loin dont l'une d'elle deviendra sûrement sa cible et pour l'instant se contenta de les fixer du coin de l'oeil en se mordant la lèvre inférieure. Il remarqua cependant un dos familier au comptoir auquel il se dirigea et un sourire s'esquissant sur le visage. "Loukas !" s'exclama-t-il en posant une main sur les larges épaules du jeune homme. Il tira une chaise et s'asseya, les mains sur le comptoir et demandant une vodka absolut au barman. Le Cole allait fort dès le début, mais il était déterminé de s'amuser au plus vite, avant que toutes les sombres pensées ne le prennent sur le fait. "Maitre ? Voyons, pas de maître avec moi, ça me rappelle mon primaire." Répliqua-t-il dans un sourire légèrement amer au souvenir de quelques moments de son enfance. "Appelle-moi simplement Damien, on est pas en procès maintenant...si ? C'est vrai que parfois ça arrive de juger dans un bar aussi. " dit-il dans un léger sourire franc et les yeux légèrement amusés. Il n'était pas sûr que le jeune avocat avait compris à quoi il voulait se refferer - sûrement parce qu'un physique et un âge comme le sien, Loukas ne passait pas ses soirées au bar à écouter les problèmes des autres. Damien soupira à cette pensée, mais parfois il se dit que c'est beaucoup mieux que d'en avoir. Hakuna Matata, ça veut dire pas de soucis. Le barman revient en main sa commande et Damien le remercia, profitant de ce moment pour regarder comment se portait ses petites cibles. À son grand désespoir, il se trouve qu'elles ont toutes été prise alors qu'il regardait ailleurs et le brun sirota un peu de son verre. Son attention se reporta de nouveaux aux belles prunelles de son jeune collègues, noisettes mais touchant vers l'amande - ce genre de couleur qui aux reflets du soleil deviennent vert - dégageait un regard froid mais quelque peu vide au fond alors qu'il sirotait son whisky. "Alors que t'amènes-tu ce soir à un bar seul ? Problème de coeur ? Ou justement, aucun ?" Damien commanda un autre verre, qu'il lui fût aussitôt rapporter mais aussitôt bu et redemander. Au bout de son quatrième, il pivota de nouveau vers le jeune homme. "Peu importe ce qui te tracasse, il n'y a qu'un remède à ça: des shots. Et c'est moi qui offre." Il leva légèrement la main et commanda pour les deux hommes sans attendre qu'il ne réponde.
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Gueule d'ange et Justice
Damien & Loukas
«Si la vie était si simple, si facile. Je parviendrais peut-être à sourire, à me confier mais la vie m'a tellement porté de coups que désormais sourire n'est pas chose facile pour moi»
Qu'est ce qui avait pu te pousser à pénétrer dans un tel lieu ?. L'alcool ? non pas vraiment car tu es du genre à siroter ton verre dans le confort de ton salon installé dans ton canapé afin d'éviter la présence des autres ainsi que les regards. Le fait, peut-être de ne pas être seul ou de te donner la sensation d'avoir une vie autre que le boulot. Tout était possible. On aurait pu te décrier comme un ours vivant dans une grotte. Ta meilleure amie, elle n'avait pas la moindre gène à te le mettre en pleine tronche. Comment un jeune homme comme toi pouvait se montrer ainsi. Distant, froid. Pourquoi avec un tel physique, tu étais seul. Est ce que tu es trop difficile ou tes attentes envers les autres sont trop grandes. Ton verre sous le nez, tu donnes l'impression de chercher une répondre dans la couleur ambré du liquide qui lui ne te répondra jamais. Te laissant seul face à tes questions, des doutes mais surtout ton raisonnement à la con.
Le simple fait d'être présent dans ce lieu entouré par des âmes vivantes est un effort presque surhumain pour toi. Non pas que tu n'aimes pas les autres. Tu les évites tout au plus préférant la solitude qui elle sait tellement bien fermer sa gueule. Au moins, seul, tu n'as pas à répondre aux questions qui tournent généralement sur ta vie, ton célibat. Lorsque cette main vient se poser sur ton épaule. Un contact humain, tu en restes surpris. Qui peut oser faire une telle chose. Basculant ma tête dans la direction de cette personne. Je constate l'identité de celui qui vient m'approcher. Un confrère quarantenaire avec lequel il m'arrive de travailler. L'observant un court instant, laissant mon sourcil droit se soulever. J'avoue ne pas comprendre sa première remarque. Restant silencieux pour ne pas cracher directement que ses années de primaires, je m'en cogne. Mon regard noisette ne le quitte pas. Je me demande pourquoi il se met à parler autant. Il est vrai que je ne peux nier l'envier. Parler aussi librement. Nous ne sommes pas des parfaits inconnus, loin de là même. Je suis bien plus loquace lorsqu'il s'agit de parler de droit ou de jurisprudence.
« Nous sommes tous juger qu'on le souhaite ou pas. » Venais-je à lui dire tout en reportant toute mon attention sur mon verre contenant mon whisky. Croire ou penser le contraire semble tellement utopique pour moi. Je me doute bien qu'on doit se demander pourquoi un type comme moi n'ayant pas encore trente ans. Qui a un physique plus qu'avantageux. Je suis certain qu'on doit me qualifier du gars qu'on ne laisserait pas dormir dans la baignoire ! alors on doit se demander la raison qui me pousse à fuir les autres. A ne pas jouer au connard en m'envoyant en l'air avec le premier venu en justifiant mon acte sur la fougue de ma jeunesse. Tu détournes ton regard, une fois encore vers lui, délaissant ton verre. Un moment de silence alors que tu te demandes pourquoi ton confrère vient jouer les psychologues avec toi. Il est vrai que la première fois où tu avais pu poser ton regard sur lui, il t'avait plu. Peut-être qu'un homme plus expérimenté dans ta vie aurait pu parvenir à t'ouvrir sur le monde extérieur. Peut-être même qu'un homme comme lui aurait pu te supporter et te faire comprendre certaines choses sur la vie de couple.
« Voilà bien longtemps que j'ai fait une croix sur ma vie sentimentale Damien. »
Et, tu es plus que sincère lorsque tu dis une telle chose. Tu penses ne pas pouvoir être aimer par quelqu'un. Que la personne qui sera capable de te supporter n'existe pas. Tu t'imagines presque vouer à une vie de solitude et étrangement, tu te rassures en te disant qu'au moins, tu as réussi grâce à cela ta vie professionnelle. Toutefois, je rejoins mon compagnon d'un soir sur le point qu'il vient de soulever. On se moque bien de ce qui peut me tracasser. Je reste juste un peu surpris par le fait qu'il puisse commander d'autres boissons. Damien souhaite réellement passer sa soirée avec un type comme moi. Enfin, s'il veut passer une soirée de merde, libre à lui. Je ne m'attendais pas à ce qu'il puisse agir d'une telle manière. Je l'observe, venant à faire signe au barman. Je dois dire que la quarantaine qui se rapproche de lui est une chose qui le rend terriblement séducteur, charmant. Il a ce pouvoir de l'homme viril ayant de l'expérience.
« Merci. » Dis-je simplement sans véritablement quoi lui répondre. « Tu as l'habitude de venir ici ?. » Je venais de prendre sur moi, pour poser une question aussi simple. Une question qui peut paraître banale pour le commun des mortels mais pour moi, c'est telle une porte ouverte sur ma vie. Et, je ne suis pas à mon aise dans ce genre d'exercice mais l'avocat qui est prêt de moi semble vouloir passer ce moment de vie avec moi. Autant que je tente de faire des efforts. Et étrangement, c'est la voix de ma meilleure amie qui vient s'imposer à mon esprit. Cette dernière me disant bien souvent de me lâcher.
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Sujet: Re: rps de damdam
rps de damdam
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C'était un Vendredi soir, un peu après huit heures et Damien se trouvait déjà dans un bar. Il était à son onzième shot de Tequila, qu'il avala rapidement en cul-sec dès que la barmaid lui en donnait. L'homme avait déjà consommé tout un verre de whiskey et d'un vodka absolut, mais tenant très bien à l'alcool, il savait que ce n'allait pas être suffisant pour lui faire perdre la tête. La barmaid n'avait rien rajouter lorsqu'il commanda son premier shot, étant pratiquement habituée à sa visite; parce que oui, ce n'était pas la première fois qu'il essayait de se bourrer, mais bien la quatrième consécutive. Et la raison était toute bête: il ne savait pas. Quatre jours, une soixante-dizaine de shot et pourtant aucune réponse. Damien avait tenté de réfléchir - il l'a même écrit dans ses mémoires et demander à des gens sur des forums en anonymat -, utiliser ses méninges pour une fois et aller chercher profond en lui, ce qu'il cache dans les abysses de son cœur, mais Damien ne comprend toujours pas. Il ne comprend pas: pourquoi ressent-il ce vide en lui ? Il avait un loft, de l'argent, des amis et des relations aussi proche qu'une famille, de la bonne humeur et tout allait bien aussi, que ce soit avec son divorce ou le fait qu'il vit sa vie à son plein; libre et sans grand attachement. Et pourtant, il y avait ce vide, quelque chose qui alarmait ses sens et ses émotions et le Cole n'arrivait vraiment pas à trouver une solution. C'était un véritable casse-tête chinois. Le bar où il était tranquillement installé était un peu bruyant en ce Vendredi soir. De nombreuses personnes, principalement des hommes, se sont regroupés là. Apparemment, il y avait un match de catch aujourd'hui, un championship où à la finale s'affrontait deux légendes du catch - dont Damien ignorait le nom car il n'y accordait aucun intérêt à ce sport. N'importe qu'elle abruti savait que le catch, et principalement à la télé, n'est que de la grosse mise en scène de deux grosses brutes drogués et ayant avalés quelques douzaines de stimulants avant de se faire envoyer dans cette cage. Les gagnants étaient déjà déterminés par rapport aux paris, quel gagnant ou perdant rapportait le plus par les compagnies et le reste n'était que du spectacle. Et justement, des exclamations et des sifflements provenant du public et du bar s'élevèrent parce que machin-chouette avait renversé binocle-truc. Le type à côté de lui, bras musclé autour du cou de sa petite-amie - ou de sa pute ? - et l'autre s'élevant haut dans le ciel une choppe de bière à la main, laissa un hurlement bien viril. Damien leva les yeux en exaspération. "Débile." lâcha-t-il avec de prendre son quinzième shot de Tequila. Son voisin semble l'avoir entendu, se leva et se tourna vers lui, rouge de colère et de l'alcool qui lui était déjà monter à la tête, saoul. "Pardon, tu as dis quoi tapette ?" Cinq autres mecs se levèrent d'un coup, tout aussi grand et tenace que son voisin, et également très menaçant prêt à le défoncer à n'importe qu'elle moment. Damien se montra indifférent, trop saoul pour exprimer une émotion en fait, et il finit par montrer du doigt la télévision où d'autres applaudissements s'en suivirent et ajouta: "Ce que vous regardez, c'est de la camelote." Cela sembla être la gâchette, la goutte qui déversa le vase pour le costaud devant lui parce que le poing s'écrasa rapidement sur le visage de Damien et ce dernier se retrouva rapidement éjecter vers le mur à l'autre bout de la pièce. 
La grasse matinée. La joie de n'entendre aucune alarme te réveiller, le bonheur de rouler dans ton lit, sous ta belle couette et tête sur ton coussin, tous les membres de ton corps qui se détende, tous tes muscles de ton corps qui se relâchent et toutes tes cellules qui se reposent, laissant ton esprit divaguer dans un sommeil sans rêve. Juste du repos, que du repos. Et c'est aussi la sensation quand tu te réveilles et ouvre les yeux, que le soleil est bloqué derrière les rideaux mais les plus doux rayons viennent te caresser le visage. Et le moment où tu regardes l'heure, et que tu lâches un soupir pour t'enrouler par la suite dans tes draps et te rendormir. Tu divagues, ton cœur est léger et ta respiration régulière. Et quand tu te réveilles, tu le fais lentement, dans un mouvement gracieux, comme si tout était ralenti. Et tu prends ton temps, et tu ouvres tes paupières.
Ce soir, Damien avait opté pour manger dehors. Après tout, demain était Mercredi et c'était son jour de congé. Normalement, il optait plutôt pour un bon fast food à la maison mais exceptionnellement, il voulait sortir un peu, prendre l'air. La firme lui avait permis de sortir un peu tôt aujourd'hui et il en avait profité pour faire une bonne sieste, récupéré de la veille où il a dû faire nuit blanche sur un procès qu'il devait préparé pour le lendemain très tôt et a pu fermer les yeux pour une demi-heure sur le canapé dans son cabinet avant de s'y remettre pour pouvoir faire attention de tout ramener avec lui. Bon, le positif dans l'histoire c'est qu'il l'a gagné et défendu son client et sa famille, donc ce travail pénible a servi pour quelque chose & malgré sa fatigue, ce dernier était très content pour sa famille, et ses collègues ont eu la gentillesse de lui préparer une petite tournée de champagne à l'occasion de sa réussite. Mais le Cole était mort de fatigue, et le premier truc qu'il a fait en rentrant chez lui, c'est de s'étaler en long sur son canapé et se laisser dans les bras de Morphée. Il s'est ensuite réveillé aux alentours de dix heures et a eu une envie de décompresser dehors, puis celui-ci avait envie de la bonne bouffe. Suivant sa faim, il opta alors pour un bon resto dans le coin.
Pseudo & Pseudo
Damien soupira, pour la quarante-vingt troisième de la journée. Ce n'était pas une bonne journée pour lui, tout commence mal avec rupture de stock de thé - qu'il a oublié de vérifier comme il le faisait à chaque fois - donc il en a pas eu sa dose du matin puis un gros meeting et rendez vous sur rendez vous qui s'enchaine, jusqu'à que ce midi alors qu'une forte migraine lui pris, le téléphone sonna. Le brun soupira; ce n'est pas comme si ça allait arranger lea choses non ? "Lulla, attends, je.." Tout s'est passé trop vite pour son cerveau. En même temps, même dans sa condition normale, la jeune fille était trop difficile à gérer. Il soupira une nouvelle fois, mais un sourire s'esquissa sur ses lèvres; cette petite ne changera vraiment jamais. Justement lorsqu'il se tourna, elle était devant lui et lui demandait comment il allait. "D'après toi ?" Dit-il simplement, en pointant derrière lui la fenêtre où baignait une énorme quantité de lumière et de chaleur malgrés que les fenêtres étaient réfléchissantes de l'extérieur - et totalement isolées évidement. Tous ceux qui ont cotôyé Damien au moins une fois savait au'il détestait être enfermer dans son bureau dans une telle chaleur. Il était d'ailleurs l'une des rares personnes à préférer la pluie dans ses cas là, ça irait bien avec son humeur en plus. Damien reporta à nouveau aon attention sur la jeune fille et vit qu'elle posa sur son bureau ce dont il avait le plus besoin: yaourt et hamburger, comme il les aimait. "Oh mon dieu Lulla, tu peux pas savoir à quel point tu es géniale. Un ange, tombé du ciel !" S'exclama-t-il pour une grande étreinte. Le mi-trentenaire caressa les cheveux de la jeune fille affectivement, presque paternel, puis s'écarta avec un sourire pour bien l'admirer. "Mais assez parler de moi, comment toi, tu vas ?" Ils restèrent ainsi un moment et Damien plissa les yeux, essayant de déchiffrer l'expression de sa petite protégée. Ayant passé autant de temps à ses côtés, il pourrait peut être réussir au moins une fois ! 
Puisqu'il vivait tout seul, Damien devait faire ses courses par lui-même. Il devait en permanence se souciait de ce qui avait dans le placard, dans le frigo et si ce qu'il va utiliser ou non laisserait une quantité suffisante pour demain ? Au final, il y pensait constamment, c'était devenu une obsession - déjà que manger en était une. Mais voilà que, malheur, cette journée a dû être une exception. Après une longue journée au boulot, Damien était totalement lessivé par le nombre de paperasse et d'affaire qu'il a dû régler aujourd'hui et était bien content de rentrer aujourd'hui. C'est temps-ci, il remarqua que son lit et son chez-lui lui manquait de plus en plus; et bizarrement, on le faisait bosser encore plus que d'habitude ses temps-ci. Damien ne savait pas qui a causé quoi, comme à cette fameuse question de qui est sorti avant, la poule ou l’œuf. De même, Damien ne savait pas quoi répondre, et même s'il était épuisé, son stupide cerveau s'entêtait à le savoir du pourquoi.
Heureusement que j'avais pas écris grand chose qui changeait de la situation habituelle (comment on est synchro pour le coup de l'ascenceur 
) J'espère que tout de même ça va te plaire c: 
Bon normalement, avec la flemme que j'ai, je ferais pas plus gros que ça donc no soucis, pas de défi de longueur sinon j'vais y prendre part.... débile comme je suis. 
Dans la vie, il y a un bon et un mauvais côté des choses. L'amour, le rire, l'amitié, la joie, la chance, la pûreté, l'excitation mais également le désespoir, la tristesse, la colère, les pleurs, la nostalgie, les défauts. Et parmis tous ses mauvais côtés, parmis tous ses malheurs que tu pourrais avoir du genre se faire renverser par une voiture ou se lrendre un rateau, il y a quelque chose de bien pire. Pire que la mort, qu'est ce que ça pourrait être ? Allez en avance pour bosser. Pas besoin de dessin pour montrer que parfois, Damien aimerait juste ne jamais se réveiller. Il aimait aon boulot, il aimait être avocat et connaitre tous ses gens, mais oh mon dieu, la paperasse. C'est un calvaire, immense. "Achevez-moi" soupira-t-il alors qu'il lâcha son stylo et mis sa tête entre ses mains. Il s'est réveillé hyper tôt pour venir faire sa petite paperasse avant que le procès. Il ne commençait pas avant quatorze heures mais avec tout ce que le boss lui donnait ses derniers temps, même s'il est arrivé à cinq heures et demie du matin, il ne finirait peut-être jamais à temps, pas tout seul. C'est inhumain de lui demander ça tout de même. Et pourtant, on lui a demandé et Damien était stressé par le temps qui passait à une vitesse fulgurente. Il était déjà sept heures et demie et la firme commençait petit à petit à se remplir; la plupart des avocats étaient déjà là, le reste n'était que les habituels retardataires. Damien n'en était même pas au quart. Ça le désespérait de plus en plus, ça le rend totalement dingue. S'il n'avait pas de prime après ça, il démissionne, c'est sûr.
Ces temps-ci, Damien avait l'impression qu'il n'y avait que le travail dans la vie. Ses dernières semaines passaient trop vite et ce qu'il considérait comme liberté qu'il avait pour but dans son divorce, il semblerait que le temps n'y était pas compris en fin de compte. Tout passait trop vite. Il avait encore l'impression qu'hier était sa bal de promo. Damien avait enchainé rencontre sur rencontre ses dernières années, mais parmis toutes ses rencontres, il y en avait une avec qui il pouvait toujours compter pour du renouveau. Une rencontre pas problématique, loin du travail et du fun garantie. C'est à ce moment là qu'il lui ouvrit la porte et l'invita à rentrer: Liam. Celui-là, il ne l'avait jamaos regretter et aussi loin qu'il s'en souvienne, ils ont tout de suite connectés. Liam était tout ce qu'il recherchait en l'humanité, le meilleur ami de l'Homme. Et Damien le considérait comme tel. "Évidemment que je fais comme chez moi, tu as crû quoi !" s'exclama-t-il dans une fausse indignation, puis éclata aussi de tire. Il échanga une forte poignée de main et tapota de l'autre le dos de son ami comme ils savaient le faire avant de pénétrer dans la demeure. L'odeur de pizza feu de bois y régnait dans cette place et Damien s'avança de plus en plus vers le salon où la télévision était allumée, quelques minutes avant que le match de hockey sur glace ne commence, et constata que la table était pleines de nourritures et de boissons: trois sortes de pizza, plusieurs assiettes de chips et toute sorte de petites choses. Damien pivota complétement pour faire face à Liam, l'air grave et ses yeux bleus perçant fixant ceux du plus jeune. "Tu peux vraiment pas t'empêcher d'en faire trop, hein ?" Finit-il par dire mi-amusé, mi-exaspéré et poussa un grand soupir d'exaspération. "Tu n'as pas changé, même quand je t'ai rencontré, tu exagérais aussi à ce moment là" ajouta-t-il dans une pointe d'amusement. Il aimait beaucoup le taquiner et n'hésitait pas à dire ce qu'il pensait, parce que c'est ce qui l'a plu dans sa relation avec Liam dès le début. C'était une de ses formes de liberté, une liberté d'expression avec ce qu'il considère comme son meilleur pote. De sa main, le brun sortit un sach en plastique et le posa sur la table, le montrant au maitre des lieux avec un sourire. "J'ai ramené des nachos et des frites." Il ouvrit prestement le sachet pour reveler quatres paquets de carton chauds et s'installa confortablement devant la télévision. "Comment tu vas sinon ? Ça fait un bon bout de temps tout de même. " Damien était occupé par son boulot mais il se demandait vraiment ce que Liam faisait. 
« Saloperie ! » Un bruit sourd retentit sur le volant, Damien ayant tapé du poing sur celui-là. Il poussa un juron lorsque le capot de sa voiture dégagea de la fumée, pas très rassurante, et n'osa même pas y jeter un coup d'oeil. Il imaginait déjà le désastre à l'intérieur et jura une nouvelle fois. Damien jetta un regard sur sa montre pour voir qu'il était pratiquement minuit et que demain il devait être à son cabinet pour un rendez-vous de bonne heure. Le Cole soupira, dessérra sa cravate bleu et posa sa tête sur le volan. Il venait de sortir d'un dîner avec ses clients au The Hills qui tourna pour une tournée de vin et de champagne. Il leur a essayé de faire comprendre que le temps était bien trop court et qu'il ne voulait pas trop s'incruster, alors qu'en ce moment même il serait allongé nu comme un ver sur son sofa préféré à regarder une bonne série sur une bonne bièrre. Cette seule pensée lui donnait envie de chialer, et il se contenta de pousser un gémissement plaintif sur son volant. Il a tout de même réussi à les faire convaincre qu'il devait encore conduire chez lui, et n'a heureusement pas trop bu. Mais alors qu'il était enfin délivré de ce très long rendez-vous, voilà que sa caisse lui faisait des siennes et s'arrêta soudainement pour aucune raison. Il lui manquait plus que ça, que sa voiture tombe en panne ici, au milieu de nulle part. Damien ne connaissait aucun garage dans le coin et encore moins ouvert à cette heure-ci. Il faisait sombre en plus, la rue était vide et il se doutait tout de même qu'il devra trouver un autre moyen pour de l'aide. 
